vendredi 1 octobre 2010

La nourriture autrichienne a son site internet

Sur ce site http://www.austrianfood.net/, on retrouve un certain nombre des produits, que j'ai pu voir, et parfois acheter en allant dans les supermarchés autrichiens. Un petit tour de marketing - merchandising en mode Sissi l'impératrice! Le site est en anglais profitez en!

Be curious!

mardi 21 septembre 2010

Autriche - Allemagne : l'amour vache par dessus les Alpes

Voici un bon article de Newsweek Polska sur les rapports entre Allemands et Autrichiens : au delà des similarités apparentes entre les deux peuples, il existe de grandes différences historiques.

"Ils parlent la même langue, ou presque, sont liés par une histoire agitée et regardent de plus en plus la même télévision. Ils ont du mal à se supporter, et ne peuvent pas vivre les uns sans les autres. Allemands et Autrichiens forment l’une des plus étonnantes paires de peuples européens.

Quelle est la différence entre un Allemand et un Autrichien? L’Allemand voudrait comprendre les Autrichiens, mais il n’y arrive pas. L’Autrichien, lui, sait comprendre les Allemands, mais il ne veut pas le faire. Ce n'est que l'une des nombreuses blagues qui illustrent le ressentiment germano-autrichien. La publication cette année en Autriche du livre Streitbare Brüder (Les Frères ennemis) a relancé le débat sur les relations abruptes entre les deux voisins.

"Lorsque quelqu'un à l’étranger me prend pour un Allemand, c'est presque une insulte. Je veux bien être originaire de n’importe quel pays, du Canada, de la Norvège, de la République tchèque ou du Chili, mais pas d'Allemagne", plaisante l’écrivain autrichien Franzobel, qui ne mâche pas ses mots en parlant de ses voisins du Nord : "Ils ne comprennent pas nos blagues, prennent tout au sérieux, ils croient avoir toujours raison".

Le quotidien allemand Bild, n'épargne pas non plus les Autrichiens et liste trente raisons d’en rire. "Votre drapeau est rouge, blanc, rouge, pour que vous ne puissiez pas le mettre à l’envers. Les Autrichiens les plus célèbres sont morts ou ont émigré, comme Arnold Schwarzenegger."

L’opposition Autrichien-Allemand reflète la vieille dichotomie entre Autrichien et Prussien. Le premier est un catholique traditionnel, galant et aimable. Le second est un protestant rigide, arrogant, d’un formalisme prétentieux auquel s’ajoute une fâcheuse tendance à donner de leçons à tout le monde.

Après la défaite nazie, la germanitude a battu en retraite

Au XVIIIe siècle, Frédéric II a enlevé aux Autrichiens la quasi-totalité de la Silésie. En 1866, lors de la bataille de Sadowa, l'armée de Guillaume 1er a brisé l'armée impériale de François-Joseph. Mais après la Première Guerre mondiale et la fin de l’Empire austro-hongrois, les Autrichiens, réduits à vivre dans un petit Etat sur le Danube, souhaitèrent leur rattachement à l'Allemagne. Pas étonnant donc, qu’à peine vingt ans plus tard, la grande majorité d’entre eux ait accueilli avec enthousiasme l’annexion de leur pays par le Troisième Reich (Anschluss).

En revanche, après la défaite des nazis et la révélation de leurs crimes, la germanitude battit en retrait. Les Autrichiens ont essayé d’échapper à leur part de responsabilité dans la récente hécatombe, affirme Hannes Leidinger, co-auteur de Streitbare Brüder. Le pays en reconstruction a soigné sa neutralité, les élites politiques, tout comme les journalistes viennois, ont œuvré d’arrache-pied à la construction du mythe de l'Autriche première victime de Hitler. Comme s’ils avaient oublié où était né le chef du Troisième Reich. L’Autrichien veut convaincre le monde qu’Hitler était allemand et Beethoven autrichien. L’Allemand s’en fiche complètement, prétend une autre blague sur les voisins germaniques.

L’hebdomadaire viennois Falter a écrit avec ironie que les Allemands, qui constituent la plus grande communauté d'immigrants du pays après les Turcs, sont aussi réticents que ces derniers à s'intégrer dans la société autrichienne, car ils refusent d’ en apprendre la langue... En effet, l’allemand version autrichienne diffère à bien des égards de la langue des habitants de Berlin ou de Hanovre. Le Palatschinken autrichien n'est pas un quelconque jambon [Schinken, en allemand], mais une crêpe. La confiture de prunes, Pflaumenmus pour les Allemands, est ici nommée à la slave : Powidl.

Après la guerre, les autorités de Vienne ont pris soin de se distinguer linguistiquement du grand frère du Nord. En 1949, la langue allemande avait disparu, en tant que telle, pour plusieurs années des programmes scolaires autrichiens. Elle était bien sûr toujours enseignée, mais s’appelait officiellement "la langue d'enseignement".

Deux peuples condamnés à se supporter

Aujourd'hui, l'allemand autrichien perd de plus en plus sa particularité. La télévision par satellite et par câble y est pour quelque chose. Beaucoup d'Autrichiens préfèrent des chaînes allemandes RTL, ou SAT 1 à leur ORF. Les chanteurs autrichiens apprennent sagement la prononciation standardisée, condition indispensable pour la conquête de l’attractif marché allemand.

"Plus jamais de vacances en Autriche !", écrivait Bild en 1994, après que le tennisman allemand Michael Stich s'était fait huer par un public autrichien. Mais l'appel au boycott n'a pas marché. 40% de touristes qui visitent l'Autriche viennent d'Allemagne. "Sans les vacanciers étrangers, la république alpine serait une zone de crise économique", reconnaissent les auteurs du livre.

Le PIB autrichien par habitant (près de 46 000 dollars) est aujourd’hui supérieur à celui de l'Allemagne (moins de 41 000 dollars). Il est révolu, le temps où les Autrichiens achetaient des voitures d'occasion en Allemagne. Aujourd'hui, ce sont eux les plus riches, et leur économie a moins souffert de la crise que celle de l’Allemagne. Les voisins brouillés peuvent s’envoyer à volonté des méchancetés, ils sont condamnés à se supporter."

Source : http://www.presseurop.eu/fr/content/article/265371-l-amour-vache-par-dessus-les-alpes


Je confirme ce rapprochement croissant dans les milieux universitaires. A Klagenfurt, j'ai pu côtoyer de nombreux Allemands qui venaient faire leurs études supérieurs en Autriche faute de places suffisantes chez eux. Même chose pour le corps professoral : j'ai eu environ un quart de professeurs originaires ou vivants en Allemagne. Ces échanges sont facilités par les liaisons aériennes régulières et à très bas prix entre l'aéroport de Klagenfurt et les grandes métropoles Allemandes.

mardi 21 juillet 2009

Les accusations d'espionnage occupent la politique autrichienne avant la trêve estivale

Article du Monde sur les "petits" scandales politiques qui éclaboussent la politique autrichienne! L'Autriche ne fait pas exception!


L
es députés sont partis en vacances en laissant l'Autriche bruisser d'affaires d'espionnage dont s'accusent les uns et les autres. Chaque parti trouvait des raisons différentes de réclamer l'institution d'une commission d'enquête parlementaire sur l'espionnage. Et sans pour autant s'entendre, ils ont fini par former une majorité : une commission d'enquête a été votée à l'improviste, vendredi 10 juillet, dernier jour de législature avant la pause estivale, par les cinq groupes parlementaires. Elle devrait commencer à siéger dès le mois d'août.

La liste des doléances est longue. Les appels téléphoniques de Peter Westenthaler du BZÖ (Alliance pour l'avenir de l'Autriche, droite populiste) ont été surveillés par la police. Heinz-Christian Strache, le chef du FPÖ (Parti libéral d'Autriche), l'autre formation d'extrême droite, accuse le ministère de l'intérieur d'avoir communiqué aux Verts des données sur son parti. Le rapport 2009 sur la lutte antiterroriste, qui n'est pas encore rendu public, fait état de l'instrumentalisation de députés du FPÖ par les services secrets kazakhs.

Une quatrième affaire est apparue, plus importante par ses implications politiques et militaires. Selon le quotidien Standard, qui se réfère à une instruction ouverte par le ministère de la justice et confiée aux services d'investigation du ministère de l'intérieur, les services de contre-espionnage autrichiens auraient communiqué des données sensibles à des hommes politiques du FPÖ, de 2000 à 2001, lors du gouvernement de coalition entre les conservateurs et la droite populiste mené par Wolfgang Schüssel.

Le ministère de la défense était alors dirigé par Herbert Scheibner du FPÖ (maintenant au BZÖ). A l'arrivée du ministre social-démocrate Norbert Darabos, les fonctionnaires soupçonnés d'avoir organisé ces fuites ont été déplacés.

Cette affaire ne devrait pas relever du mandat de la commission d'enquête. Elle pourrait pourtant être abordée, en lien avec les allégations d'instrumentalisation de députés du FPÖ par les services secrets kazakhs. Le FPÖ a adressé plusieurs questions écrites à la ministre de l'intérieur, Maria Fekter, s'interrogeant sur l'absence de suite donnée à la demande d'extradition de Rachat Aliev, le gendre tombé en disgrâce du président kazakh, Noursultan Nazarbaev.

Deux policiers suspendus

Une autre question écrite du FPÖ porte sur le titre de séjour d'Alnour Moussaev, ancien dirigeant des services secrets kazakhs. Selon le journal Die Presse, le ministère de l'intérieur soupçonne les services secrets kazakhs d'exercice d'influence et s'interroge sur l'origine des documents arrivés aux mains des députés FPÖ. Il y a peu, deux policiers ont été suspendus pour avoir puisé des informations sur Rachat Aliev dans la banque de données de la police criminelle. Ils auraient été soudoyés par un ancien fonctionnaire des services de contre-espionnage.

Malgré les possibilités d'audition de témoins sous serment et d'accès aux archives sensibles, la portée des commissions d'enquête parlementaires autrichiennes est généralement limitée. Les commissions précédentes, sur l'achat des avions de combat Eurofighters et les spéculations financières de la banque Bawag, ont surtout conduit à enterrer les affaires.

Dans le cas de la surveillance des conversations téléphoniques du député du BZÖ, dont l'immunité parlementaire a été ignorée sous prétexte qu'il figurait comme témoin et non comme accusé dans une affaire, les conclusions de la commission pourraient servir de base à la future loi d'application de la directive européenne sur l'enregistrement de données à des fins de lutte contre le terrorisme.

Laurence Monnot (Le Monde du 20/07/2009)

samedi 18 juillet 2009

Red Bull !!! What else... ;-)


Bonjour à tous,

Aujourd'hui nous allons parler d'un breuvage que les autrichiens -mais pas qu'eux- consomment abondamment! La bière vous allez me dire! Non démodée la bière^^ Altmodisch comme y diraient ici! Non la boisson favorite des autrichiens c'est le Red Bull mes amis!! No comment^^

Mais bon pas de parti pris pour l'instant (d'autant plus que j'ai déjà gouté au vice!), restons objectif ;).
Disons que les descendants des Habsbourg sont les champions du monde de la consommation de cette boisson énergisante! Normal dès lors que l'on sait que la Red Bull Company est originaire d'Autriche. De Salzbourg plus précisément! Non non, rassurez vous le génie de Mozart n'a rien à voir avec ce breuvage chimique^^

Je ne vais pas m'étaler sur les bienfaits ou méfaits de cette boisson sur la santé. Dixit la controverse sur la présence de taurine qui a tant fait débat en France. Au passage, je soupçone les Pernot Ricard, Bacardi et autres vignerons bien de chez nous, d'être derrière l'interdiction du Red Bull en France ;-) Mais Victoire, depuis un an la vague Red Bullienne déferle sur la France !! A vos godets!

Bref, revenons à nos moutons, c'est de Red Bull au niveau global que je veux parler. Pourquoi un tel succès? Quels sont les ressorts de sa stratégie? Sur quelles tendances Red Bull surfe-t-il pour bâtir sa réussite?

Red Bull, c'est d'abord une énorme machine marketing ! La multinationale est très présente dans tous les sports, mécaniques en particulier. Ainsi Red Bull possède deux écuries de Formule 1, une écurie de Nascar, et une équipe de moto. Mais aussi deux clubs de foot Red Bull Salzbourg et Red Bull New York et enfin une équipe de hockey également à Salzbourg.
En dehors de ces équipes permanentes, Red Bull organise d'innombrables évènements sportifs. Des petites manifestations locales, jusqu'à un énorme show aérien, organisé chaque année dans le Land autrichien de Styrie. Son nom Airpower! Chaque année, ce sont plus de 200,000 personnes qui viennent admirer les voltiges de centaines d'appareils militaires, et dont le cerveau est bombardé d'images du logo Red Bull ! En tout et pour tout, l'entreprise dépense 450 millions d'euros en sponsoring sportif, soit 15 % du chiffre d'affaires de la société, par an!!! Pauvre petit africain qui crève de soif, dans le Sahel, je penserai à toi quand j'irai au supermarché acheté ma cannette!

A travers tous ces évènements, Red Bull veut véhiculer une image : celle de la performance, du dépassement de soi, de la vitesse, de la force physique, de la competition...Ce n'est pas pour rien que son logo représente deux taureaux en plein combat!
De même les composants majeurs du Red Bull que sont la taurine (de synthèse^^) et surtout la caféine sont là pour aider les hommes et femmes que nous sommes à atteindre ces objectifs!
Au final, l'origine du succès de Red Bull c'est d'avoir parfaitement compris quels sont les mythes de notre société! On ne peut critiquer Red Bull sans se poser la question de la démesure, de l'excès, de l'argent roi et de bien d'autres mythes contemporains...

Si vous voulez creuser le sujet, je vous invite à aller faire un tour du côté du site internet de Red Bull et pour ceux qui croient encore qu'avaler une canette de boisson énergisante augmente les performances sportives, je vous conseille ce reportage (la première partie de la vidéo est navrante j'avoue ^^)!

Bon week end à tous!

Santé ! Prost ! Cheers ! ;)






vendredi 5 juin 2009

Les Karawanken et Le Loibl Pass : grandeur et cruauté de l'homme et de la nature

Aux premiers jours du mois de Juin, j'ai eu la chance de m'aventurer dans le massif des Karawanken. Ces montagnes escarpées au sud de Klagenfurt marquent la frontière avec la Slovénie voisine. Certes, elles ne dépassent pas les 2000 à 2500 mètres, mais la morphologie de ces sommets, fait des Karawanken une barrière naturelle entre deux pays aujourd'hui, entre deux mondes hier : le monde germanique au nord, et le monde slave au sud, un pays neutre et capitaliste face à un pays de la Yougoslavie Titiste...



La dualité des choses ne m'a rarement autant frappé que dans les Karawanken, et notamment à travers l'histoire du tunnel du Loiblpass. Aujourd'hui, c'est au milieu de ce tunnel que l'on passe de l'Autriche à la Slovénie.
Désormais, grâce à la construction de cet ouvrage et à la libre circulation des hommes et des marchandises au sein de l'espace Schengen ; ce passage d'un versant à l'autre de la montagne n'est qu'une formalité. Tout au plus constatez-vous le changement de langue des panneaux, et les postes frontières laissés à l'abandon... Cette liberté que j'ai rescenti quand je suis passé sans m'arrêter d'un pays à un autre me parait tellement normale aujourd'hui, que j'ai du mal a m'imaginer qu'il y a à peine deux décennies, du temps du rideau de fer, cette frontière était belle et bien réele...

Car avant 1990, il n'en a pas toujours été ainsi en Europe de cette liberté "d'aller, vivre et devenir". C'est ce que nous apprend l'histoire de la construction de ce tunnel et de la route qui y mène - côté autrichien. Une route étroite, serpantant dans des gorges profondes...

En effet, le tunnel du Loiblpass a été construit durant la seconde guerre mondiale par des déportés politiques, sous les coups et les sévisses de commandos SS délégués du camp d'extermination de Mauthausen. Un mémorial a été construit en contrebas du tunnel côté slovène, à l'emplacement des anciens baraquements du camp de travail.

Ce monument noire et triste contraste avec la beauté de ces montagnes au printemps, couvertes de verts paturages, de fleurs, de sapins... Ces montagnes devrait ressembler à un havre de paix, repos et plaisir des sens : leur doux parfum, leur silence, la fraicheur de l'air réchauffé par les rayons d'un soleil aux éclats...



Cependant quand vous vous approchez de ce mémorial, votre esprit comprend au premier regard que ces lieux ont un triste passé. Au milieu du mémorial trone un squelette, emprisonné par 4 piliers de pierre noire sur lesquels sont mentionnés en une dizaine de langues différentes l'histoire des martyrs du nazisme du Loiblpass. Ce squelette lève les bras au ciel, comme pour nous dire que les Hommes qui ont souffert et sont morts ici, n'ont finalement recouvré la liberté que dans l'au-delà...

Voici ce qui est écrit sur ces pierres : " De 1943 à 1945 sur ces lieux,se trouvait l'annexe du camp de concentration de Mauthausen. Des déportés polititiques de France, de Pologne, d'Union Soviétique, de Tchécoslovaquie, de Belgique, du Luxembourg, d'Italie, de Norvège et de Yougoslavie y ont souffert et y sont morts en creusant le tunnel de Ljubelj."



La plupart des déportés furent des français, et tous heureusement ne sont pas morts au Loiblpass. L'un d'entre eux, André Lacaze a écrit Le Tunnel une oeuvre majeure et unique sur l'horreur des camps nazis. Cette oeuvre retrace le courage quotidien pour (sur)vivre de ces Hommes du Loiblpass...
(cf. lien vers Blog Lisons.info )

Après de telles découvertes, au milieu d'une nature si magnifique, vous poursuivez votre route bouleversé, plein d'interrogations, de doutes...

Retraversez le tunnel une seconde fois, et vous vous demanderez comment ces Hommes ont pu survivre en creusant cette montagne...

En périodes de révisions pour le bac philo et d'élections européennes, je concluerai ainsi :

Enlevez moi ma Liberté, et là je saurai la valeur de la Liberté !

lundi 25 mai 2009

Un brin de "culture" : L'Autriche à l'honneur au festival de Cannes 2009


Hier l'Autriche a brillé par deux fois lors de la cérémonie de clôture du 62ème festival de Cannes !
C'est assez exceptionnel pour le faire remarquer !

La palme d'or a été remportée par Michael Haneke pour "Le Ruban Blanc" un film contant des histoires bien étranges d'un village protestant d'Allemagne du nord à la veille de la première guerre mondiale. Un film "à part" si j'en crois cet article du Monde "Le Ruban blanc" : violence et boucles blondes dans l'Allemagne puritaine.

Deuxième succès pour l'Autriche : Christoph Waltz remporte le Prix d'interprétation masculine pour son rôle d'officier SS dans Inglourious Basterds, de Quentin Tarantino.
Ce film a l'air carrément déjenté, de là à l'élever au rang de film méritant la mention suprême "Grand n'importe quoi", j'attend de le voir à sa sortie.

Lien vers Article du Monde "Inglourious Basterds" : Tarantino s'égare dans une seconde guerre mondiale fictive

Le dessous des cartes : le paradoxe autrichien


Comme un petit corse célèbre l'a dit : "Un bon croquis vaut mieux qu'un long discours".
Je laisse donc l'émission le dessous des cartes vous expliquer ce qu'est l'Autriche aujourd'hui : son histoire, son économie, sa place particulière dans l'Union Européenne élargie...

Quelques repères fondamentaux indispensables et surtout très bien illustrés.